dérive-sectaire Lettre ouverte à ma psyDérive sectaire du thérapeute ?

Dans ma «Lettre ouverte» rédigée en 2005, je décris ma prise de conscience de la «dérive» de mon ex-psychologue. Et les conséquences.

Dix ans plus tard (en 2015), je partage ce témoignage via ce blog. J’ai «optimisé» le texte et la mise en page pour un meilleur référencement naturel.

Précision: avec le recul, cette « lettre ouverte à ma psy » m’a aidé à survivre dans un premier temps. A comprendre dans un second. Elle ne dit pas toutes les difficultés que j’ai vécues par la suite pour me reconstruire. Cela a pris 10 ans.

Avec le temps, ma prise de conscience a aussi évolué: j’ai déposé plainte au pénal le 10 décembre 2009. Mais à ce jour (9/1/2016), aucune nouvelle de la Justice belge !

Lettre ouverte à ma psy (2005)

• Droit de réponse d’un client « en-secté » •

Madame,

Vous m’avez accompagné dans ma recherche d’un mieux-être durant près de 12 ans. Pendant ce long cheminement, je n’ai jamais eu de problème avec vous. Vous avez fait du bon travail avec moi. Et vous m’avez surtout aidé ces trois dernières années en supervisant la rédaction de mon témoignage. Jamais je ne renierai cela. Vous le savez: vous êtes la personne la plus importante de mon développement personnel. Et j’ai un profond respect pour vous (la psy), pour votre travail – en particulier la relecture de mon manuscrit – et pour l’impact positif que vous avez eu sur ma créativité.

En échange de votre travail de relecture, je vous avais proposé de réaliser les travaux de peinture de votre nouveau centre. Et c’est durant cette période (février-mars-avril 2005) que j’ai découvert quelques changements (plutôt surprenants) dans votre comportement.

«Vous m’avez invité plusieurs fois au restaurant.
Vous m’avez fait des cadeaux. Notamment un Bouddha.»

D’une part, j’ai constaté que vous tutoyez plusieurs patients (homme). Et vous les rencontrez aussi en dehors des consultations. Parfois même au domicile du patient (qui était peut-être aussi un ami ?). Et enfin vous proposez à certains patients de faire un « Travail sur le toucher » (une « thérapie – mystérieuse ? – dont vous ne faites aucune publicité publique !).

D’autre part, notre relation a aussi évolué vers la convivialité. Vous m’avez invité plusieurs fois au restaurant. Vous m’avez fait des cadeaux. Notamment un Bouddha. Vous m’avez fait aussi une belle déclaration: « Vous êtes quelqu’un de très attachant ». Et puis, vous étiez aussi tactile avec moi (vous me touchiez le bras ou l’épaule alors que pendant onze ans et demi vous ne m’avez jamais touché !). Et ensuite les enlacements (fraternels) ont aussi fait partie de notre nouvelle relation. Comme si nous étions des amis. Ce n’était pas désagréable. Et cela ne m’a pas perturbé.

«En d’autres mots, je me suis parfois retrouvé
dans une relation du type « je te prends, je te jette »
… avec « ma » psychologue !»

Par contre, vous avez aussi installé un jeu plus pernicieux. Un jour, vous me faites une demande: « Est-ce que je peux avoir un bisou ? ». Et le lendemain, la psy (?) ou la femme (?) me fait sentir ses limites. Le message non-verbal est clair: « Ne touchez plus idiot! ». En d’autres mots, je me suis parfois retrouvé dans une relation du type « je te prends, je te jette »… avec « ma » psychologue !

Et ceci est terriblement dé-stabilisant pour le patient. Parce que je perds mes repères dans la relation avec ma psy. La relation de confiance devient de la confusion. La relation d’aide devient jeu de pouvoir. Et de « sujet », j’ai l’impression de devenir « objet » (jetable) entre les mains de ma psy. Bref, je me sens piégé par ma psy (en qui je faisais confiance depuis 11 ans et demi).

Autre changement. Vous m’avez aussi fait quelques petites confidences comme si j’étais un ami. Je sais que vous avez des problèmes de couple et je sais aussi que vous aimez beaucoup la sensualité. Avant de m’enlacer la toute première fois, vous m’aviez dit: » Je suis en manque de toucher ». Et après le passage à l’acte, vous m’avez lancé: « J’ai très envie de faire avec vous un travail sur le toucher ».

En fait, pendant plus de dix ans, vous avez été pour moi un modèle en matière d’éthique. A ce sujet, vous m’avez soutenu (pendant trois ans) dans la rédaction de mon témoignage. Manuscrit dans lequel j’intègre beaucoup d’informations juridico-éthiques. Et voilà que – ici et maintenant – je découvre que vous bafouez la déontologie des psychologues. Je ne comprends pas. Et je me sens trahi.

Que dit la déontologie des psychologues et psychothérapeutes ?

• « Le psychologue ne peut avoir d’autres relations que professionnelles avec ses clients ». – « Les rapprochements sexuels entre le psychologue et ses patients sont strictement proscrits ». – « Un psychologue ne peut solliciter directement des clients pour une thérapie ou un diagnostic individuel ». (Code de déontologie de la Fédération Belge des Psychologues – FBP).

• « Le psychothérapeute est dans l’obligation d’assumer ses responsabilités compte tenu des conditions particulières de confiance et de dépendance qui caractérisent la relation thérapeutique. Il y a abus de cette relation à partir du moment où le psychothérapeute manque à son devoir et à sa responsabilité envers son patient-client pour satisfaire son intérêt personnel (par exemple, sur le plan sexuel, émotionnel, social ou économique. Toute forme d’abus représente une infraction aux directives déontologiques spécifiques concernant la profession de psychothérapeute. L’entière responsabilité des abus incombe au psychothérapeute. (Code de déontologie de la Fédération Française de Psychothérapie – FFdP).

• « Abstinence sexuelle. Le psychothérapeute s’abstient de toutes relations sexuelles avec ses patients ainsi qu’avec ses étudiants en formation et collègues en supervision ». (Code de déontologie du Syndicat National des Praticiens en Psychothérapie – SNP Psy).

• Conflits de rôles: le somato-psychothérapeute prévient l’éventualité de conflits de rôles qui pèsent sur les deux parties en refusant tout rôle thérapeutique au sein de sa famille, de ses amis ou de l’entourage privé et professionnel proche ». (Code de déontologie de l’Association Internationale de Somatothérapie – AIS).

La psy et son patient peuvent-ils vivre une double relation (psy-patient en consultation et femme-homme en dehors) ?

La psy peut-elle passer à l’acte dans un cadre thérapeutique ? Réponse:

• « L’exploration de l’inconscient se déroule au niveau imaginaire et symbolique, et non pas réel. Le psy ne doit donc ni toucher un analysant (pas même sous prétexte thérapeutique), ni à fortiori avec des relations sexuelles avec lui. Vous ne devez pas non plus le voir en dehors des séances, ni faire commerce avec lui; en un mot, vos relations ne doivent pas sortir du cadre thérapeutique ». (Anne-Sophie Nogaret, psychologue) (5).

• « Il y a incompatibilité absolue entre relation thérapeutique et relation privée. Si un thérapeute est trop proche de vous, il perd une bonne part de son efficacité. C’est sa distance affective qui garantit sa neutralité. » (Patrick Traube, psychologue) (6).

A ce propos, j’en ai eu confirmation en mars 2005. Lorsque nous étions retournés en thérapie. Pendant quatre consultations, j’ai vu ma psy « pédaler dans le choucroute ». J’avais l’impression que vous étiez « absente » et « à côté du sujet » (au propre comme au figuré). J’avais aussi la nette impression que la psy et la femme avaient « fusionné ». Et qu’elles se mélangeaient les pinceaux !

Résultat: la thérapie n’a plus fonctionné. Pourquoi ? Parce que dès qu’il y a échanges kinesthésiques (bisous, enlacements,…) entre la psy et son patient, il y a aussi et surtout une relation entre la femme et l’homme qui s’installe (même avec le vouvoiement et même si le contact est fraternel, amical ou convivial). La psy n’est plus « neutre » par rapport à son patient.

Comment avez-vous fait pour oublier la ‘distance thérapeutique’ essentielle à la thérapie ?

Soyons honnête. Quand la psy enlace son patient, le patient n’a plus d’attentes thérapeutiques envers sa psy. Par contre, l’homme a des envies kinesthésiques envers (le corps de) la femme.

Il me semble important ici de vous rappeler que pendant onze ans et demi, vous ne m’aviez jamais touché. Et je pense que c’est grâce à cette « distance physique » que le travail de la psy a eu un impact thérapeutique. Mais depuis que vous m’avez touché, enlacé, embrassé,… j’avoue que c’est la femme qui a désormais un impact sur l’homme. Et aujourd’hui, très honnêtement, j’ai plus envie de rencontrer « la femme » que « la psy » ! Et j’ai aussi envie de sensualité avec (le corps de) la femme.

Cette « double relation » (avec la psy et avec la femme) m’a beaucoup interpellé. Je pense qu’elle a faussé la thérapie et la relation. Elle a faussé la thérapie parce que vous êtes sortie du cadre (vous êtes devenue femme !). Et elle a faussé la relation (parce que vous m’avez laissé fantasmer sur autre chose que la thérapie: l’amitié, la tendresse, la sensualité,…). Des choses que vous ne pouvez me donner.

Et ces derniers mois, je me suis aussi demandé pourquoi et comment une psy humaniste avait-elle pu passer d’une éthique rigoureuse à un nouveau comportement « plus convivial et plus permissif » ? Et je me suis rappelé votre invention. Résumons-la:

« Les quatre niveaux du thérapeute »

• Niveau 1: « traiter le symptôme ». Certains thérapeutes choisissent (ou se contentent) d’être des « techniciens ». Ils se limitent à « travailler le symptôme ».
• Niveau 2: se préoccuper de la personne ». A travers le symptôme du patient, ils s’intéressent aussi à la personne dans sa globalité (physique, psychologique et sociale).
• Niveau 3: « soigner l’Être ou l’Âme ». D’autres encore prennent le parti de se pencher sur ce qui fait l’être humain et d’intégrer à leur pratique un code, une déontologie ou des valeurs éthiques (philosophiques ou religieuses). Par exemple: une approche humaniste.
• Niveau 4: « prendre soin des autres ». Le niveau le plus engagé et qui touche aux énergies du coeur. Et qui demande aux thérapeutes de choisir la voie de l’amour et de la sagesse.

Et vous avez la prétention de travailler à ce niveau 4. Vous m’en parliez (avec beaucoup d’enthousiasme) depuis trois ou quatre ans. Et toujours motivée à 200 %. J’ai moi-même été très séduit par ce nouveau concept. Mais avec le recul, je prends conscience que votre belle théorie ne tient pas la route. Il y a une anomalie.

«Votre niveau le plus engagé (‘prendre soin des autres’)
est une aberration thérapeutique !»

Pourquoi ? Vous ne dites pas que la formule « prendre soin des autres » est directement liée au bouddhisme. A la page 132 du livre « Au Coeur du Bouddhisme » (7), je lis: « Cet engagement à prendre soin des autres trouve sa source dans le fait que le bodhisattva se perçoit et se réfléchit en tant que détenteur de la nature de Bouddha ». (Précisons ici que le bodhisattva désigne une personne qui est engagée sur la voie spirituelle et qui progresse vers l’éveil).

Dans « les quatre niveaux du thérapeute », vous avez donc clairement placé à la première place « votre croyance » personnelle: le bouddhisme (niveau 4). Et vous placez surtout le bouddhisme (« prendre soin des autres ») AU-DESSUS de la déontologie (que vous avez relégué au niveau 3). Et c’est ici que vous avez fait une erreur. C’est ici qu’il y a dérive. Ceci explique votre nouveau comportement. Ceci explique pourquoi vous ne respectez plus votre code de déontologie (ce n’est plus votre référence, vous êtes désormais engagée dans le « prendre soin des autres »).

Et c’est très beau comme « intention positive » et comme engagement humaniste. Mais « prendre soin des autres » sans éthique (donc sans limites, sans règles, sans cadre, sans garde-fous,…) conduit inévitablement à des dérives et dérapages. Sans éthique, vous n’êtes plus psychologue, vous êtes simplement (!) femme. Avec vos qualités humaines. Et aussi avec vos envies, vos besoins et vos manques. Et vous pouvez aussi devenir « gourou ». Et « utiliser » vos patients pour combler vos besoins.

Lors des dernières consultations, j’ai vite compris que la « femme » avait pris la place de la « psy ». Désormais, c’est la « femme » qui reçoit les patients de la psy. Et qui fait semblant d’être psy. Et c’est la femme qui dirige et qui contrôle la « fausse thérapie ». Et tout cela est merveilleusement camouflé par le bouddhisme (un lama a été bénir votre centre !). La dérive sectaire ou mystique est donc encore plus difficile à détecter (pour les patients).

«Comment cette psychologue peut-elle à un moment donné choisir d’adhérer au bouddhisme et de renoncer à sa déontologie ?»

Dans « Santé mentale et phénomène sectaire », Jean-Claude Maes (8) précise:

« Dans le cas des thérapeutes, il me semble que la dérive sectaire intervient au moment où le thérapeute élève ses techniques de travail au rang de croyance, le relatif de son travail thérapeutique au rang d’absolu de vie. Ainsi le psychothérapeute va tenir un langage de philosophe, avec ceci de pervers que sa philosophie sera présentée au patient comme la seule solution possible à ses problèmes, et d’ailleurs comme une panacée universelle. » 

Constatation. Il faut le dire honnêtement: « votre » niveau le plus engagé (« prendre soin des autres ») est une aberration thérapeutique ! Puisque vous avez oublié l’essentiel: la déontologie. Et sans éthique, il n’y a plus thérapie, il y a abus de confiance, abus de pouvoir et manipulation mentale.

Les conséquences peuvent être dramatiques pour certains patients. Au minimum, des dizaines de patients ont payé pour une thérapie totalement inefficace. C’est une arnaque. Et dans le pire des cas, si un patient « homme » (que la psy a touché, enlacé, voire rejeté « après usage »…) devient dépendant de la femme (qui est aussi sa psy !), il peut sombrer dans la déprime, dans l’alcool, dans la drogue ou même se suicider !!! En clair, c’est un DÉSASTRE THÉRAPEUTIQUE.

« J’ai plein de patients qui se désistent »

Et c’est peut-être aussi un « désastre professionnel » pour la psy elle-même. Parce que je sens que votre engagement à « prendre soin des autres » vous a conduit dans une impasse. Et vous m’avez donné plusieurs messages qui m’inquiètent (en tant que patient): « Les traumas, c’est trop lourd pour moi »; « Entre deux patients, j’ai besoin de prendre du temps »; « J’ai plein de patients qui se désistent ».

Questions. Comment une psy qui a une formation professionnelle, un diplôme, une éthique rigoureuse et une quinzaine d’années d’expérience,… comment cette psychologue peut-elle à un moment donné choisir d’adhérer au bouddhisme et de renoncer à sa déontologie ? A-t-elle été influencée, manipulée ou a-t-elle « pété un plomb » avec la méditation ou le tantra ? Ou a-t-elle trouvé refuge dans le bouddhisme pour fuir ses propres problèmes et ses propres souffrances ? Et pourquoi la psy a-t-elle permis à la femme d’envahir son territoire ?

Depuis février 2005, j’ai essayé (à de nombreuses reprises) de vous interpeller sur votre manque d’éthique. En retour, j’ai reçu de nombreuses engueulades. C’est un sujet que vous ne souhaitez pas aborder. Et à mes demandes d’un entretien en tête-à-tête (dialogue), vous avez choisi de répondre par des exposés théoriques (monologues)… à côté du sujet ! Vous imposez « votre » point de vue (= abus de pouvoir) et vous me donnez des explications abracadabrantes (= abus de confiance).

« L’imagination humaine est sans limites quand il s’agit de tuer chez l’autre la bonne image qu’il a de lui-même; on masque ainsi ses propres faiblesses et on se met en position de supériorité ». (Marie-France Hirigoyen) (9).

«Aujourd’hui, je consulte une autre psy
pour comprendre votre dérive et vos dérapages !»

Paradoxe. Vous avez été ma psy pendant plus de onze ans. Vous m’avez aidé à grandir. A sortir des souffrances. A être plus autonome. Vous m’avez accompagné à « accoucher » de mon histoire (et à dépasser mon passé). Et aujourd’hui, je consulte une autre psy pour comprendre votre dérive et vos dérapages ! Et pour gérer les conséquences. Citons-les:

La trahison (Vous m’avez soutenu dans la rédaction de mon témoignage dans lequel je dénonce le manque d’éthique de certains psys et je découvre que vous faites la même chose !).

La frustration (Vous avez éveillé chez moi des envies de sensualité avec vous, mais la femme n’est pas disponible pour l’homme !).

L’abus de confiance (J’ai fait confiance à la psy pendant plus de onze ans et aujourd’hui vous m’envoyez des lettres particulièrement agressives pour essayer de justifier l’injustifiable !).

L’abus de pouvoir (Le dialogue n’est pas possible avec vous: vous imposez votre point de vue).

L’erreur est humaine. Puisse cette lettre « ouverte » vous interpeller et vous « ouvrir » à prendre conscience de votre dérive mystique, éthique et sectaire (et des dégâts psychologiques qu’elle entraîne chez certains de vos patients). Puissiez-vous un jour avoir l’humilité d’accepter vos erreurs et d’assumer la responsabilité » de vos actes. Puisse ce témoignage (d’un de vos patients) vous inviter à redevenir une psy humaniste « centrée sur la personne » et à « prendre soin »… de remettre la déontologie à la première place. Pour le mieux-être de vos patients.

Que votre vie soit belle chaque jour de votre vie. Malgré tout.

Daniel Van Onacker
(4 octobre 2005)

dérive sectaire - neutralité bienveillante

Crédits Photos:  ->> Markgraf (MorgueFile) et Markgraf (tumblr) – >> Clarita (Morguefile)  ->> irkengirdib (MorgueFile)

Dérive sectaire: une lettre ouverte en 2005 et une plainte au pénal en 2009

Cette « lettre ouverte » souligne la prise de conscience de la dérive de mon ex-psychologue. Elle ne dit toutes les difficultés que j’ai vécues par la suite pour me reconstruire. Pour info, j’ai déposé un dossier de plaintes au pénal le 10 décembre 2009. A ce jour (nous sommes le 9 janvier 2016), aucune nouvelle du parquet ?!?

Dérive sectaire & Déontologie du psy: quelques liens utiles

(1) Fédération Belge des Psychologues: www.bfp-fbp.be/fr – Téléchargez le Code de déontologie en PDF ici.
(2) Fédération Française de Psychothérapie – FfdP: ?
(3) Syndicat National des Praticiens en Psychothérapie – SNP Psy: www.snppsy.org – Lisez le Code de déontologie ici.
(4) Association Internationale de Somatothérapie – AIS: téléchargez le code de déontologie AIS ici.

(5) Anne-Sophie Nogaret, Bien choisir son psy, Editions Hachette, 2004.
(6) Patrick Traube, Comment choisir sa psychothérapie, Editions Chiron, 1998.
(7) Traleg Kyabgon Rinpoche, Au Coeur du Bouddhisme, Publications Kunchab, 2004.
(8) Jean-Claude Maes – SOS-Sectes – Téléchargez le Cahier de la Santé n°16: Santé mentale et phénomène sectaireCommission Communautaire Française, Bruxelles, 2001. 
(9) Marie-France Hirigoyen, Le harcèlement moral, Editions La Découverte et Syros, 1998.

(-) Pierre-Yves Boily, Psys, thérapeutes et autres sorciers, VLB Editeur, 1998

Dérive sectaire du thérapeute: avez-vous été victime ou témoin ?

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